Cover up d’un tribal

J’avais 17 ans quand j’ai poussé pour la première fois la porte d’un salon de tatouage. C’était chez Abraxas et j’avais tendu au tatoueur un petit bout de papier sur lequel j’avais griffonné au hasard – même si j’aimais penser que tout était parfaitement voulu et calculé alors que j’ai de bien piètres talents de dessinatrice – un motif tribal parce que c’était la mode, ni plus ni moins.

Je tannais déjà mes parents depuis près de 2 ans pour qu’ils signent cette fichue autorisation ! Ils ont suffisamment résisté pour que j’épargne le bas de mon dos mais pas pour que l’envie d’un tribal me passe. C’est bête, il est tombé en désuétude peu de temps après. J’ai très rapidement regretté mon tatouage que je n’assumais plus à mesure que je grandissais et bien que je finissais par ne plus le voir ; il suffisait d’une photo de moi prise de loin pour que l’évidence me saute aux yeux : ça ne me ressemblait pas et ça ne m’a jamais vraiment ressemblé.

Car finalement, à 17 ans, est-on vraiment en mesure de savoir qui l’on est et ce que l’on a envie d’avoir encré dans sa peau toute la vie ?

Dans cet article, j’ai envie d’évoquer la relation que l’on peut avoir avec un tatouage en particulier ; pourquoi j’ai regretté le mien et pourquoi je pense que se faire tatouer trop jeune est une bêtise. Je parlerai aussi du cover up de mon tribal et de comment il m’a permis de tourner une page définitivement. Une fois n’est pas coutume, le texte sera très personnel mais je ne pouvais pas consacrer un article à ce sujet sans parler du pourquoi et du comment !

Genèse d’une erreur de jeunesse

Le 19 novembre 2003, j’ai confié la décoration de ma cheville à un tatoueur qui – je l’estime aujourd’hui – n’a pas bien fait son boulot d’information. A l’époque, le tatouage était beaucoup moins mainstream qu’aujourd’hui et l’offre logiquement moins prolifique ; je ne sais pas si c’est pour cette raison que le tatoueur a pris les choses à la légère mais toujours est-il qu’il a transformé mon petit motif de 8 cm en pièce de près de 30 cm (3 fois plus gros que ce que je souhaitais, hum) et qu’il ne m’a jamais interrogée sur mes motivations.

L’envie de me faire tatouer était plus forte que l’envie de me faire tatouer un motif que j’aimais. J’ai foncé tête baissé.

J’avais l’impression de devenir une grande personne, de devenir la fille cool du lycée qui a un tribal qui dépasse un peu de ses Dr. Martens – tu la sens l’ado mal dans sa peau ou pas là ? Ce tatouage était faussement thérapeutique ; influencée que j’étais par un garçon qui venait d’entrer dans ma vie et qui s’était lui-même fait tatouer un tribal. Encore aujourd’hui, j’ai bien du mal à admettre que cette décision n’était pas l’aboutissement d’une vraie envie, d’une réflexion, mais plus celle d’une personne qui n’avait pas du tout confiance en elle et qui cherchait à singer les codes changeants du cool.

Pourquoi se faire tatouer à l’adolescence est plutôt une mauvaise idée

Je ne souhaite pas endosser le rôle de la mère morale ou débiter des généralités sur les adolescents mais il me semble qu’il existe bien de mauvaises raisons qui poussent à se faire tatouer trop jeune. Même si nous n’avons pas tous vécu cette période de la même façon, l’adolescence est une phase de la vie où l’on est en pleine construction et particulièrement influençable. On cherche sa place au sein d’un groupe, notre rapport au corps est assez compliqué et celui à l’autorité parentale parfois tout autant.

Dans mon cas, lorsque mes parents ont fini par accepter, je l’ai vécu comme une victoire !

J’avais l’impression que soudain, ils m’autorisaient à être une adulte et à user de mon libre arbitre. Ils me témoignaient leur confiance (ou leur renoncement, hem) et à l’époque, ça m’a fait du bien. A cela s’est ajoutée l’envie de paraître cool et de faire partie des rares personnes tatouées au lycée. Parce que eh, ça en impose ! Autant de raisons superficielles qui auraient dû être soulevées par le tatoueur à mon humble avis – sans vouloir rejeter la faute sur lui hein.

Regretter son tatouage

Une fois que j’eus quitté le lycée après mon bac en 2005, j’ai commencé à regarder mon tribal avec un œil critique : j’avais l’impression de me trimbaler avec une étiquette qui disait cette jeune fille a eu une adolescence faussement rebelle, regardez plutôt sa cheville. J’ai traversé des périodes où j’en avais un peu honte et où je ne m’autorisais même pas à mettre des collants fins qui le laisseraient transparaître ! Malgré tout, ça m’est rapidement passé : je ne le voyais plus, je n’avais plus d’avis à son sujet.

En vieillissant, j’ai recommencé à avoir plus de mal à l’assumer. Je ne m’empêchais pas d’avoir les jambes à l’air mais chaque fois qu’une personne s’exclamait « tiens, je ne t’aurais jamais imaginée avec un tribal toi ! » souvent suivi d’un « mais ça a un sens particulier ou c’est juste décoratif ? » ; ça me rappelait combien je n’avais eu aucun contrôle sur ce tatouage et qu’il n’avait absolument aucun sens pour moi.

D’ailleurs, je me justifiais souvent en disant que c’était les vestiges de mon adolescence et que j’envisageais de le faire recouvrir.

Il était clair dans ma tête que ce tribal était voué à disparaître sous autre chose. J’avais déjà une idée précise de ce que je voulais mais j’ai mis des années à sauter le pas !

Recouvrir son tatouage : le cover up de mon tribal

Faire recouvrir son tatouage n’est pas une mince affaire : il faut trouver un tatoueur qui soit partant pour tatouer par dessus un motif qui n’est pas le sien (et dieu sait que beaucoup n’ont ni l’envie ni le talent pour le faire) et dont le style vous corresponde. J’ai envoyé des dizaines de mails à des tatoueurs dont j’aimais le travail pour leur proposer de faire le cover up de mon tribal, presque tous m’ont dit non.

Sur les conseils de mon monsieur, j’ai contacté Le Phylactère – un chouette salon de tatouage à Boulogne-Billancourt – et Neal Panda a tout de suite accepté de relever le challenge ! J’aimais la qualité de ses traits et sa minutie mais surtout, son enthousiasme quand je lui ai parlé de mes envies de forêts, de montagnes et d’animaux. Nous avons pris rendez-vous le mercredi 1er février et entre-temps, je lui ai envoyé de nombreuses images d’inspiration issues de mon board Pinterest Lovely Tattoos.

J’ai découvert le motif le jour J : est-ce que ça me faisait flipper ? Un peu. Forcément, j’avais envie d’avoir enfin le contrôle sur ce qui allait m’être tatoué mais cette fois, j’étais sûre que ça me ressemblerait et le tatoueur m’a assuré que l’on pourrait faire des ajustements ensemble sur place.

Il y a plusieurs obstacles à contourner lorsque l’on fait recouvrir son tatouage. Un bon tatoueur qui accepte de réaliser un cover up va travailler en optimisant les espaces vierges et ceux déjà tatoués. On ne peut pas faire ce que l’on veut mais on devient aussi plus créatif dans la contrainte alors…

In fine, on voit toujours un tout petit peu le premier tatouage lorsque l’on fait attention et que l’on sait qu’il était là avant. Plus de 3 mois après, des retouches sont nécessaires notamment sur la fougère au niveau du pied et de la cheville (comme par hasard hein, l’endroit qui fait le plus mal) mais je suis très contente du résultat ! Le tribal a disparu et ce qui le remplace me convient totalement, à tel point que j’ai désormais une nouvelle idée pour qu’un autre tatouage lui fasse écho sur ma jambe gauche.

Le tatouage thérapeutique

Je fais partie de ces gens qui tiennent à ce que leurs tatouages aient un sens (probablement parce que je suis marquée par ma première expérience prématurée) et ce cover up a une saveur toute particulière. Recouvrir mon tribal – même si j’en avais l’envie depuis longtemps, vous l’avez compris – était symbolique et même carrément thérapeutique.

Ça me permettait de tourner visuellement la page et de n’avoir plus sur mon corps un signe qui me rappelle à quel point j’étais influençable et influencée.

Ce n’était plus seulement la question de mon erreur de jeunesse, c’était aussi devenu la question de reprendre possession de mon corps et de mes choix qui avaient été bridés pendant plusieurs années au sein d’une relation pour le moins toxique. Aujourd’hui, je regarde mon cover up avec beaucoup de fierté parce qu’il me rappelle le courage dont j’ai fait preuve : à la fois en serrant les dents pendant plus de 5 heures de séance mais surtout, surtout, en reprenant ma vie en main il y a bientôt un an.

Et vous, avez-vous déjà regretté un tatouage ? Avez-vous fait réaliser un cover up ou avez-vous décidé de l’assumer ? Quelle est votre relation à vos tatouages ? Le tatouage comme thérapie, ça vous parle ?

Merci à Neal Panda pour son talent, sa gentillesse et son écoute ! Je reviendrai pour mon second projet ;)

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90 commentaires

  1. Lucile

    Effectivement un très joli cover-up ! Moi aussi j’ai un tribal sur la cheville! Je l’ai fait à 20 ans… il était pas forcément très réfléchi non plus, mais je l’ai fait faire en Nouvelle Zélande (j’y ai passé quelques mois, à l’époque), dans la tradition maori, et il raconte mon histoire (et il est moins imposant que le tien). Presque dix ans après, je l’aime toujours autant, je chéris le message qu’il raconte (et que je suis la seule à connaitre) et cette expérience au bout du monde. :)
    Mais dès on en a un, on réfléchit tout de suite au prochain hein ;)
    Bonne journée !

    • LaëtitiaAutrice

      Ah ça c’est chouette ! Je pense que j’aurais mieux vécu le fait d’avoir un tribal s’il avait eu un sens particulier pour moi alors qu’en fin de compte, il me rappelait uniquement une période de ma vie où j’étais mal dans ma peau… Héhé, c’est vrai que quand on commence à se faire tatouer, on met le doigt dans un engrenage ;)

  2. Julie de Écolorée.com

    C’est un peu la même histoire pour moi (j’avais tout juste 18 ans ) : le tatoueur ne m’a pas dit que le dessin que j’avais choisi avait des traits trop durs pour mon petit corps et surtout ma nuque (qui est un endroit assez fin de manière générale). Je pensais travailler le dessin avec lui mais non et je n’ai pas osé contester. En revanche je ne souhaite pas le recouvrir parce qu’il a pour le coup une réelle signification. Je rajoute seulement des éléments au fil de mes voyages (et de mes rentrées d’argent ahah) autour pour qu’il paraisse plus fin. Comme ça ce sera une vraie œuvre d’art se complétant tout au long de ma vie ! :)
    Mais bref, ton cover est vraiment top de chez top et ressemble au style de ton blog et surtout à la signature de tes photos nature.
    Bravo et courage pour Coppélia !

    • LaëtitiaAutrice

      Merci beaucoup Julie ! :) Effectivement, comme toi je n’ai pas osé m’imposer quand j’ai vu la taille du motif, j’ai dit oui alors qu’au fond je pensais « NOOOOOON » haha. C’est chouette en tout cas que tu aimes le tien et qu’il te ramène à de bons souvenirs, c’est bien là le principal !

  3. juliette

    Quel chouette article, quel joli tatouage et surtout quelle belle conclusion <3

    Hâte d'en savoir + sur ton deuxième projet !

    De mon côté, le tatouage comme thérapie ça me parle, vu que j'ai pris rendez-vous chez le tatoueur juste après une séance d'hypnose ^^ J'avais envie de m'affirmer comme étant, à 30 ans, enfin capable de prendre une décision qui pourrait ne pas plaire à tout le monde… Aucun regret jusqu'à maintenant :)

    • LaëtitiaAutrice

      Je me souviens bien quand tu m’en avais parlé ! ^_^ Je n’imaginais pas que mon cover up allait prendre une dimension « thérapeutique », je m’en suis rendu compte uniquement pendant la séance, quand je voyais le tribal se recouvrir au fur et à mesure, et qu’à côté de moi il y avait Matthieu <3

      • juliette

        (ok je vais chouiner dans 3… 2… ♡ )

  4. Cloé Auneau

    Bonjour Laetitia :)

    Pour moi aucun regret de mes deux tatouages sur le bras, réalisés pour marquer mon évolution suite à mon séjour universitaire au Brésil j’envisage cependant, sans les recouvrir totalement, de les intégrer dans un plus grand motif comme pour symboliser qu’après avoir ressenti un grand bonheur puis un immense vide je m’épanouis et trouve mon équilibre :)

    En tant qu' »artiste », j’aime la contrainte qui me rend plus créative, alors j’espère trouver la bonne personne pour mon tatouage et je file découvrir ton tatoueur !

    Belle journée,

    Cloé

    • LaëtitiaAutrice

      Il est super Neal Panda, je te le recommande mille fois ! Il a beaucoup de talent et aime travailler des univers assez différents, je trouve que c’est une vraie qualité :)

  5. Sophie (Ma conscience écolo)

    très intéressant cet article ! Ton tatouage a l’air magnifique, dommage qu’on ne le voit pas en entier ^^ J’ai fais mon premier à 22 ans (ou 23 ? bref), un peu rapidement et surtout parce que je voulais me faire tatouer. Peu importe le motif… un peu comme toi ! Heureusement depuis je fais plus attention, et les 3 suivants me plaisent beaucoup :)

    P.S. : adorable cette petite carte postale pour les commentaires ;)

    • LaëtitiaAutrice

      C’était assez difficile de le montrer en entier car je me suis photographiée seule, j’essaierai de poster bientôt une photo sur Twitter où on le voit dans son intégralité ou presque :)

  6. Caroline

    Super article ! Je suis passionnée par le tatouage depuis plusieurs années, même si je n’ai réalisée que 2 pièces, j’ai passé un temps fou sur la symbolique, le dessin etc… alors je comprends parfaitement ton envie d’avoir un tatouage avec une vraie « histoire » qui te représente ! Et, ton cover est juste, magnifique ! Belle journée :)

    • LaëtitiaAutrice

      Merci Caroline !

    • LaëtitiaAutrice

      Merci Caroline !

  7. SailorSupergirl

    Ayant une dizaine de tatouages et ne comptant pas m’arrêter en si bon chemin, j’avais hâte de lire ton article et ton ressenti à ce sujet :)

    Je tenais à rebondir sur le tatoueur qui n’a pas fait son boulot : pour moi, autorisation parentale ou pas, un bon tatoueur ne fait rien avant 18 ans. Ça peut paraître être une barrière trop « classique » peut-être mais ça laisse quelques mois de plus pour réfléchir. J’en viendrai presque à penser que c’est parfois de « l’abus de pouvoir », entre guillemets pour ne pas aller trop loin :’)

    Personnellement, je me suis fait tatouer pour la première fois à 18 ans, malgré le fait que ma mère ait été d’accord bien avant. Je ne le regrette pas. Il y a juste le second que j’ai fait qui ne me plait plus et que je prévois de recouvrir mais je ne le vois pas, donc ce n’est pas dans mes priorités.

    En tout cas, ton cover est très beau, ça fait quelques mois que je suis les actualités de ce salon que j’aime beaucoup :)

    Merci pour cet article nécessaire qui remet les pendules à l’heure : oui, le tatouage n’est pas un acte anodin mais réfléchi (mais pas trop quand même, sinon, ce n’est jamais parfait et on ne se lance jamais, ahah!)

    Très belle journée :)

    • LaëtitiaAutrice

      Je partage assez ton avis sur le tatouage des mineurs ! Avec le recul, je trouve que c’est n’être pas très responsable de tatouer une petite personne en construction sans l’interroger sur ses motivations ; et dans mon cas, de lui transformer un motif pour un autre 3 fois plus gros (même si son choix était justifié par le fait qu’un petit motif sur une grande zone du corps, de loin c’est pas terrible). Et je n’ai pas osé dire non… Donc de l’abus de pouvoir, le terme est un peu fort (d’où tes guillemets ^^) mais il y avait en tout cas chez mon premier tatoueur, un peu trop de légèreté…

  8. Cyrielle

    Chouette article ! Comme toi, enfin un peu plus vieille à 19 ans, j’ai poussé la porte d’Abraxas pour un tatouage dans le bas du dos. A l’époque j’avais dessiné un tatouage qui devait parcourir tout le dos, mais faute d’argent, j’étais venus avec juste un petit élément dans le bas du dos. Un motif très symbolique pour moi, un peu gothique avec des arabesques et tout. Et le gars en a fait un vulgaire tribal. Je lui en ai beaucoup voulu pour deux raisons : car il a changé complètement le sens du motif pour lui donner ce côté tribal à la mode à cette époque sans se rendre compte qu’à 19 ans bah t’es bien trop impressionnée pour le remettre en question. La seconde raison c’est qu’à aucun moment il n’a pris la peine de m’informer que peut-être vu sa position je ne pourrais pas faire de péridurale. Voilà c’est un peu le truc con, mais beaucoup d’anesthésistes ne veulent pas piquer sur un tatouage donc ça mérite quand même de prévenir la nana avant et de faire ne sorte de laisser l’espace de la piqure libre. Bref, j’ai réussi à avoir la péri mais bon j’avais quand même bien les boules.
    Finalement, le motif ne me plaisant pas je n’ai jamais fini le dessin du dos. Et je me retrouve avec un dessin qui ressemble à batman (plusieurs gamins me l’ont sorti : blasitude absolue). J’ai commencé 2017 en me disant que ça serait enfin l’année des tatouage : le cover up de celui-là et un autre plus perso par rapport à ma fille sous le sein (mmh je sens déjà la douleur). J’ai commencé à bien cerner ce que je voulais, mais j’ai tellement peur de pas être écoutée et d’être encore influencée que j’ose pas lancer le truc. En plus si tu dis que c’est compliqué de trouver quelqu’un pour un cover up, ça va pas m’aider ^^

    • LaëtitiaAutrice

      Qu’est-ce qu’ils en ont fait des faux pas chez Abraxas… Neal Panda me disait qu’il avait fait pas mal de cover up sur des tatouages réalisés chez Abraxas. Mais bon, je ne sais pas toi, mais à l’époque on entendait vraiment du bien de ce salon et comme il n’y en avait pas 36 000 non plus… Ce que tu dis fais pas mal écho en moi car je n’ai pas osé dire quoique ce soit quand j’ai vu le motif final. J’avais juste fait retirer 3/4 détails que je n’aimais pas mais il a réussi à me convaincre au sujet de la taille en me disant qu’un petit motif sur une grande zone du corps, c’est pas terrible (et il avait raison, mais peut-être aurait-il fallu me suggérer une autre zone ? j’en sais rien…) C’est un peu compliqué de trouver un tatoueur pour un cover mais si le tien est plus petit, ce sera sans doute plus facile… Il ne faut pas te décourager, tu finiras par trouver quand tu chercheras vraiment ;)

  9. Élodie

    Dommage qu’aucune photo ne le montre entièrement, mais on devine tout de même un magnifique cover-up ! Cela n’a pas dû être facile de créer un motif adapté à la forme du tribal, chapeau à l’artiste.

    J’ai eu aussi des envies de tatouage très tôt, mais j’ai commencé par un petit dans le cou à 21 ans. Depuis j’en ai un deuxième sur le bras, mais je meurs d’envie de revenir sur le premier, non pour le couvrir mais pour l’agrandir.

    Belle journée à toi <3

    • LaëtitiaAutrice

      Difficile de se photographier seule ^_^ Mais on en voit l’essentiel, j’essaierai de poster sur Twitter ou ailleurs prochainement une photo où on le voit bien de côté ;)

      • Élodie

        Ce sont déjà de très jolies photos, et je suis fan de la couleur de ton vernis ;-) hâte de voir tes prochaines photos !

  10. Manon

    Trop bien cet article et ce nouveau tatouage est CANON ! Je comprends totalement cette notion de tatouage thérapeutique, je suis passée sous l’aiguille en Novembre dernier pour la première fois et ça a été libérateur. J’espère ne jamais regretter mais en tout cas quelle réconciliation avec mon corps ! Comme toi, je songe évidemment à remettre ça mais je veux prendre mon temps, pour savourer justement ce côté « thérapie » que ça apporte !

    • LaëtitiaAutrice

      Merci beaucoup Manon :) Oui, c’est assez efficace je trouve pour faire un peu la paix avec son corps/soi dans une certaine mesure !

  11. Marie Voyages

    Ce cover-up est magnifique ! Merci pour cet article ! Cela fait plusieurs années que j’aimerais un tatouage mais je n’ose pas sauter le pas, je ne sais pas quel dessin exactement… ton article est très intéressant pour voir qu’il faut surtout faire quelque chose qui nous ressemble pour que cela tienne sur le long terme…

    • LaëtitiaAutrice

      Merci Marie ! :) Oui, il faut que ça nous ressemble mais il ne faut pas non plus vouloir un motif parfait, il n’existe pas je pense… Après on tombe dans le piège de toujours trouver à redire : de toute façon, quand tu seras prête à sauter le pas, tu le ressentiras fort ;)

  12. Sarah Jane

    Oh la la ! Cet article aurait tellement pu parler de moi… 17 ans pour mon tribal entre les deux omoplates. Des amis tous tatoués à l’époque, ma soeur qui venait de sauter le pas et ma maman qui trouvait ça joli m’a dit oui.
    Pour le salon, (maintenant il a fermé ;) ), une femme aux cheveux très flash. Je me suis décidée en 5 min en feuilletant un des albums dispo.
    Pas de question, pas d’échanges avec elle. Et hop j’étais déjà sous son aiguille.
    Entre mon 1er et le 2ème tatoo 11 ans se sont écoulés. Je savais que j’en aurais d’autres, mais je voulais être sûre cette fois.
    Mon 2eme, un ballon de bodruche sur le poignet, je l’aime, énormément ! Il représente tellement de choses, il a tellement été voulu que je ne pourrai pas le regretter.
    Alors que le tribal oui, très rapidement je l’ai regretté. « Heureusement » je ne le vois pas. Parfois j’arrive même à l’oublier.
    Je pense le recouvrir mais en attendant j’en fais d’autre. Plus simple de partir sur du neuf que de reprendre un vieux…. et en même temps c’est un peu une petite blague quand on en parle avec mon copain. J’en rigole.
    En voyage en Thaïlande on a croisé bcp de personnes tatouées et pas mal avec des tribals. J’en rigolais « tu vois je me fonds dans la masse finalement avec le mien ».
    Je pense au cover mais j’ai l’impression qu’une partie de moi n’est pas encore prête à dire au revoir à ce tattoo.
    On verra dans le temps :)
    Merci pour cet article en tout cas, ça fait du bien de ne pas être la seule qui est tombée dans le tribal ado
    Bises !

    • LaëtitiaAutrice

      Et figure-toi qu’il paraît que le tribal revient à la mode haha ! C’est ce que m’a dit Faustine du salon de tatouage et effectivement, j’ai vu que ça revenait un peu (bon, moi je suis traumatisée, je trouve ça laid pour la vie maintenant) ^^

  13. Mythily GeeketteCuisine

    Génial cec cover up ! Je te remercie de partager cela avec nous et surtout pour le bon plan du Phylactère qui se trouve à 200 mètres de chez moi haha.

    J’ai plusieurs fois failli me faire tatouer (plus de 11 ans que je scrute les motif, que je gribouille etc) sans arriver à me fixer sur un motif. Le soucis c’est que j’ai plus de 5 projets de tatouages différents et je n’arrive pas à choisir celui que je ferais en premier (au cas où si j’ai trop mal, je souhaite m’arrêter au moins au tatoo qui me fait le plus envie) mais bon. Je suis une éternelle indécise ! Tu utilises quels produits pour prendre soin de ton tatoo ? J’ai vu que beaucoup prenne le hustler butter ou une autre marque dont le nom m’échappe (végan et bio).

    • LaëtitiaAutrice

      Ah je vois bien le problème que tu décris ! Pour la cicatrisation, je t’avoue que j’ai pris ce que le tatoueur m’a conseillé : de la Bepanthen (du coup, sans trop chercher à creuser la composition…) et aujourd’hui, j’applique simplement du lait hydratant comme sur le reste de mon corps (un Lavera en l’occurrence) :)

  14. Claire

    Une de mes cousine s’est fait tatouer à 16/17ans, sans autorisation parentale… à un endroit très visible en plus: la nuque. Elle l’a instantanément regretté et a commencé des séances de laser l’année dernière, à 22 ans, pour le faire effacer.
    Quand je pense aux horreurs que j’ai pu me faire tatouer au henné à l’adolescence, je suis contente de n’avoir jamais eu envie de sauter le pas!

    • LaëtitiaAutrice

      Oh la la, qu’est-ce qu’elle a dû avoir mal ! Il y a deux ans, j’ai commencé des séances d’épilation au laser sur les jambes et la dermato s’est approchée un peu trop près de mon ancien tatouage… Je l’ai bien senti passé, ça m’a brûlée et légèrement effacé l’encre alors je n’ose imaginer la douleur quand tu fais un détatouage. Tu m’as fait rire avec l’henné ^_^ J’avais moi-même tenté des trucs, notamment un tribal en bas du dos et je trouvais ça tellement joli que c’était ce que je voulais me faire tatouer (avant de changer d’avis en me disant que ça vieillirait mieux à la cheville – au moins une sage décision que j’ai pu prendre à ce moment-là). Qu’est-ce qu’on peut avoir des goûts de crotte quand on a 16 ans quand même :x

  15. Anouchka Biobeaubon

    Très chouette article! Ton cover est très beau, et j’imagine l’aprehension que tu as du avoir avant le jour J!
    J’ai pas mal de pièces, mais LA première mériterait aussi un cover. Je l’aime toujours mais elle est « passée » maintant.
    Moi aussi je voulais quelque chose de petit et finalement j’ai une grosse pièce dans le dos, même si fine. Je ne la regrette pas, elle représente une période, un rite de passage à l’âge adulte, elle est familière. Mais je vais la faire recouvrir, comme pour marque rle « vrai » passage à une vie responsable et sereine. Et éviter d’avoir un tattoo époque 2005 à vie :) Je me suis beaucoup reconnue dans ton témpignage, je vois aussi le tattoo comme une thérapie, un carnet de vie…
    J’ai hâte de voir ce que tu feras sur ton autre gambette, ça sera joli, j’en suis sûre.

    • LaëtitiaAutrice

      Merci beaucoup Anouchka :) J’aurais aimé avoir la même sagesse à l’égard de mon ancien tatouage mais il me rappelait trop de choses négatives. En tout cas, ce que tu dis sur le rite de passage à l’âge adulte est juste et je suis contente d’avoir attendu toutes ces années avant de faire un cover !

  16. Annouchka

    Je n’ai pas (encore ?) de tatouage car cela m’a toujours fait peur… Notamment pour la raison principale que tu évoques : et si je regrette de l’avoir fait ? J’ai énormément de mal à prendre des décisions dans ma vie en général, donc un tatouage qui restera graver sur ma peau à vie, c’est un énorme challenge pour moi que je ne suis pas encore prête à relever… En attendant, cela ne m’empêche pas d’admirer ceux des autres, et notamment le tien qui est vraiment superbe ! Je suis contente de lire une issue aussi positive à ton aventure. Je pensais au départ que tu allais nous dire que tu l’avais fait effacer (il paraît que c’est encore plus douloureux que de se refaire tatouer par dessus) mais finalement le résultat est bien plus joli !

    • LaëtitiaAutrice

      Merci beaucoup Anne ! J’avais songé au détatouage mais ma dermatologue me l’avait déconseillé : c’est très coûteux, très douloureux et les résultats ne sont pas toujours ceux que l’on espère. Dans mon cas, comme c’était de gros traits noirs, on aurait vraiment vu une différence entre ma peau et l’emplacement du tatouage… Et puis, je voulais le recouvrir parce que j’aime bien l’idée d’être tatouée et d’avoir un ornement sur le corps. En tout cas, je comprends ton indécision mais je suis certaine que tu finiras par trouver/faire créer quelque chose qui te ressemble et qui a du sens pour toi :)

  17. Myrtille

    hate de le voir en vrai ! T’as dû tellement souffrir sur le dessus du pied et autour de la cheville !

    Les bisettes :)

    • LaëtitiaAutrice

      Bientôooot ;) J’avais demandé à mon tatoueur de commencer par le mollet, là où il y un peu plus de chair pour me familiariser avec la sensation (il me disait que c’était mieux de tatouer de bas en haut mais il a été compréhensif haha) et quand il a entamé le dessus du pied, j’étais en plein pic d’endorphines : je ne ressentais que des chatouilles (ou quasi). En revanche, au bout de 4h de séance, je pense que mes réserves s’amenuisaient et j’ai commencé à vraiment en chier… La dernière heure a été assez dure, à tel point qu’il m’a proposé de me faire saigner pour appliquer une lotion anesthésiante. Ça a aidé mais dieu que j’ai eu mal ! Je n’ai pas trop trop hâte d’y aller pour les retouches :x

    • LaëtitiaAutrice

      Bientôooot ;) J’avais demandé à mon tatoueur de commencer par le mollet, là où il y un peu plus de chair pour me familiariser avec la sensation (il me disait que c’était mieux de tatouer de bas en haut mais il a été compréhensif haha) et quand il a entamé le dessus du pied, j’étais en plein pic d’endorphines : je ne ressentais que des chatouilles (ou quasi). En revanche, au bout de 4h de séance, je pense que mes réserves s’amenuisaient et j’ai commencé à vraiment en chier… La dernière heure a été assez dure, à tel point qu’il m’a proposé de me faire saigner pour appliquer une lotion anesthésiante. Ça a aidé mais dieu que j’ai eu mal ! Je n’ai pas trop trop hâte d’y aller pour les retouches :x

  18. Anouck

    Très joli cover !! J’ai aussi une histoire particulière avec le tatouage. Depuis petite, j’ai toujours voulu être tatouée (mon baby sitter avait des tattoos et ça me fascinait) ! Bizarrement, alors même que j’avais très hâte, je ne me suis pas précipitée après ma majorité, et j’ai eu mon premier tattoo vers 21 ans. A cette époque, le garçon avec lequel je sortais était lui même tatoueur, ça a un peu aidé! Notre histoire se construisait aussi un peu autour du tatouage et il m’en a réalisé plusieurs. Aujourd’hui nous ne sommes plus ensemble et ça s’est même très mal terminé entre nous, mais étrangement (et tant mieux d’ailleurs), je ne regrette pas les tattoos qu’il m’a fait. Chacun d’eux m’est très cher, et dans la mesure où j’ai choisi chacun des motifs réalisés et que d’autre part, en dehors de nos déconvenues affectives, je pense que c’est un très bon artiste, eh bien la transition de ce côté là s’est bien déroulée. Me faire tatouer par d’autres artistes, avoir une petite « collection », a aussi évité de lui donner l’exclusivité et donc de le rattacher à 100% à mes tattoos. Ca fait deux ans que je ne me suis rien fait tatouer, j’avais besoin d’une petite pause, d’un temps de réajustement. Ma vie a beaucoup évolué, et exactement comme toi j’ai eu la sensation de la reprendre en main après une relation toxique ++ . Aujourd’hui j’ai à nouveau des projets de tattoos, à concrétiser dans les saisons à venir :)
    J’ai écris un petit roman, désolée ! En tout cas merci pour ton partage ! Et bon courage pour retrouver ton petit chat !!

    • LaëtitiaAutrice

      Oh non ne t’excuse pas ! Ça m’a fait plaisir de lire ton histoire, merci de l’avoir partagée (et merci pour Coppy, j’espère qu’elle va être à nos côtés très bientôt) :)

  19. Véro

    Coucou,
    Histoire similaire sauf que j’ai attendu 20 ans car je pensais que faire un dauphin avec une queue en tribal sur mon épaule serait du meilleur gout. En sachant que je fais le choix de réaliser mon tatouage avec une encre bleue claire.
    Je suis heureuse de mon dauphin mais les années passantes, je constate que l’on a l’impression que j’ai en fait un décalco sur ma peau (l’encre disparait) mais surtout que ce dauphin avec ses yeux ronds ne me correspond plus du tout.
    Bref, j’ai un ami qui a refait son tatouage suite à une erreur de jeunesse et je me suis dit que c’était un signe… que je pouvais enfin réparer ma décision de 20 ans qui ne correspond plus à celui de mes 30 ans.
    Dorénavant j’ai une aile d’ange qui a une symbolique très forte et je ne regrette aucunement mon choix.
    Mes enfants envisagent de se faire des tatouages. Je leur ai toujours expliqué que je ne peux pas leur refuser MAIS que si je constate qu’ils sont trop jeunes, un emplacement non adapté et / ou que leurs décisions n’étaient pas murement réfléchies, je leur dirais que c’est hors de question. Et je pense, justement, les accompagner au tatoueur.
    Donc je confirme que les tatouages réalisés trop jeune ne correspondent pas toujours à la réalité de ta vie à venir.
    En tous les cas, je trouve que ton cover est vraiment très réussi.
    Excellente journée à toi.

    • LaëtitiaAutrice

      Merci Véro ! Je partage complètement ton avis sur l’accompagnement des ados… Je crois que je devais donner à mes parents l’impression d’être sûre de mon choix. C’est ça qui est finalement difficile à évaluer et puis aucun des deux n’est tatoué, j’imagine que ça devait être d’autant plus délicat de se mettre à ma place – même si ma mère m’avait demandé « et quand tu seras vieille alors ? » Sauf qu’à 17 ans, le « quand tu seras vieille » on se dit que ce sera quand on aura 80 ans ; on ne s’imagine pas que dans 10 ans (même pas dans mon cas !), on n’aura absolument plus rien à voir avec l’ado que l’on était…

  20. Fanny

    J’ai fait un cover de mon tatouage fait à 18 ans (un papillon). J’ai refait un papillon parce que dans le dos, je ne m’imaginais pas avec autre chose, et j’aime bien la symbolique. Je ne l’ai pas vécu comme un geste de libération, je voulais juste me débarrasser de ce tatouage qui avait viré très très moche car mal piqué et mal entretenu.
    Par contre, j’en ai profité pour me faire inscrire une plume dans la peau et celle-là, je l’ai vécu jusqu’au bout, je la voulais tellement.
    Le prochain sera encore plus symbolique, j’ai hâte !

    • LaëtitiaAutrice

      Quel teasing ^_^ On peut savoir quel sera le prochain du coup ? :D

  21. Pauline

    Que c’est joli (comme tatouage et comme histoire) ! Je suis de ton avis : c’est quasiment irresponsable de ne pas parler avec un ado des motivations avant de le tatouer… Sans parler de lui forcer la main sur le motif et la taille… Je suis comme toi : les tatouages constituent un changement de cap et un message clair de liberté et d’émancipation.
    Pour ma part, j’avais 22 ans. J’y ai pensé pendant des mois, changeant d’avis, reculant, pour finalement contacter une tatoueuse… pour deux (petites) pièces d’un coup ! J’ai failli faire marche arrière à 100m du salon, craignant de faire une erreur monumentale. Mais elle fut parfaite, rassurante et professionnelle. J’ai un lettrage à l’intérieur du bras qui ne se lit quand dans un miroir, et une plume personnalisée sur les côtes. J’ai sûrement été influencée dans mes choix par la mode, mais je les adore et ils sont très lourds de sens pour moi. Et j’adore voir l’étonnement des gens qui ne m’imaginent absolument pas tatouée !
    Et je dois l’avouer : 4 ans après, j’ai bien envie de recommencer…

    • LaëtitiaAutrice

      Ah ça, quand on commence… ^_^ Elle est chouette en tout cas l’histoire de tes tatouages :)

  22. lowett

    Super tatouage et très beau travail de créativité du tatoueur !

    Depuis l’adolescence j’ai toujours voulu un tatouage. Mais je voulais attendre le bon moment pour qu’il signifie quelque chose. Tant le motif que la douleur du tatouage en lui même. Le moment est arrivé l’année dernière et j’ai comme toi contacté une tatoueuse qui a accepté mon projet mais présenté le motif seulement le jour même. Et j’ai adoré. J’ai au final décidé de le placer à un endroit très visible (à l’arrière du bras, au dessus du coude) alors que je le voulais très caché au départ; car c’est un hommage à des personnes que j’ai laissées derrière moi, et à celles qui suivront. Car je continue à tracer ma route quand eux ils ont du arrêter. Ce sont des êtres chers que je n’ai plus dans ma vie mais qui me regardent avancer. La mort est trop soudaine. Un jour il y a, le lendemain il n’y a plus. Et ça m’a désemparée. Inscrire quelque chose sur ma peau m’a permis d’avoir qqch de concret auquel me rattacher. Et ça m’a énormément aidée, c’était thérapeutique. Mon expérience a été parfaite, la tatoueuse tellement délicate que j’ai ressenti un sentiment très agreable de bienveillance, d’amour et de plénitude lors de la séance.

    Sauf qu’étant très visible, mon tatouage suscite très vite de la curiosité et les gens demandent toujours : « il veut dire quoi ton tatouage ? ». Je m’en doutais que ça arriverait. Mais la question vient parfois d’une serveuse dans un restaurant ou d’une vendeuse de prêt à porter et ça me gène de devoir expliquer quelque chose d’aussi intime à quelqu’un que je ne connais ni d’Eve ni d’Adam. Je ne me sens pas légitime de dire « c’est personnel » alors que c’est inscrit sur ma peau à la vue de tous.

    • LaëtitiaAutrice

      Oh mais si c’est personnel un tatouage, même si ça se voit, ça ne veut pas dire que tu dois des explications aux autres – surtout à des inconnus qui ne se rendent toujours pas compte à quel point cette question peut être intrusive… ! Et je pense que les gens sont à même de comprendre que tu ne veuilles pas expliquer le sens de ton tatouage car c’est trop intime :)

  23. Leslie - Tache de Rousseur

    Très intéressant ! A 27 ans, je n’ai toujours aucun tatouage, pas que l’envie ne m’ait jamais traversé l’esprit, au contraire… mais j’ai eu l’impression que mes envies suivaient les modes : un oiseau qui part de la poitrine, une plume sur les côtes etc. et à chaque fois je voulais me laisser le temps de la réflexion et mon envie passait. Dernièrement cette envie revient en force car force est de constater que je trouve les tatouages très beaux sur « les gens », même sans signification certains sont comme des bijoux qui habillent la peau et j’aime cette idée. Mais j’ai toujours peur que ça ne m’aille pas à moi donc je suis encore dans l’expectative.
    Pour en revenir à ton cas, en effet de ce que tu laisses transparaître de ta personnalité sur ton blog, je veux bien te croire que tu vivais mal le fait d’avoir un tribal, mais ton cover up te ressemble beaucoup plus, il me fait penser à tes photos de voyage dans les grands espaces ;)

    • LaëtitiaAutrice

      Je comprends, je me dis que si je ne m’étais pas aller me faire tatouer à 17 ans, il n’est pas impossible que j’aurais tergiversé longtemps aussi ! ^^ Merci beaucoup en tout cas pour ton gentil commentaire <3

  24. Emilie

    Un joli article sur un sujet surement pas simple à aborder ! Ma réflexion a été dans le sens inverse, j’ai mis 10 ans à me faire tatouer après l’avoir demandé pour la première fois à mes parents à 16 ans. Je n’étais pas hyper pressée et je me suis toujours dis que je risquais de regretter le motif et l’emplacement. J’ai attendu que ça soit une évidence et je ne le regrette pas, j’adore mon tatouage. Ton cover-up est magnifique <3

    • LaëtitiaAutrice

      Quelle sagesse ! J’aurais aimé avoir la même haha ^^ Merci en tout cas :)

  25. Aurore

    Il est magnifique ! C’est drôle, je viens justement de réaliser mon premier tatouage aujourd’hui à 25 ans. Et qu’est-ce que je suis contente d’avoir attendu que « les étoiles s’alignent » : le motif, l’emplacement, le tatoueur se sont naturellement imposés à moi comme une évidence. ça me titillait déjà ado, mais je sais que j’aurai regretté et pourtant j’étais une ado « seine d’esprit » en apparence sans grosse histoire. Mais plus je repense à cette période, plus je réalise que personne n’a vraiment toute sa tête à cette période, c’est bizarre sûrement très hormonale. Mais en tout cas beaucoup de mes certitudes et de mon mal-être de cette époque se sont complètement envolés avec l’arrivée à l’âge adulte.

    • LaëtitiaAutrice

      Tout à fait d’accord avec toi Aurore, on est en pleine construction quand on a 16 ans et je trouve ça un peu précipité de vouloir imprimer quelque chose sur sa peau à vie quand on ne sait pas vraiment qui l’on est (après, il y a des adolescents plus matures que d’autres, et puis chacun fait comme il veut bien après tout !)

  26. marion

    J’ai aussi fait recouvrir l’un de mes premiers tatouages, un signe ohm sur le poignet. Je trouvais qu’il ne me représentait plus. J’ai fait un gros aplat de noir dessus. Je suis très tatouée donc ça ne choque pas les gens. Et bizarrement, je trouve que mon demi bras noir passe beaucoup plus inaperçu que le petit signe ohm…

    • LaëtitiaAutrice

      Ah oui ? Probablement parce que ça fait moins « petit détail que l’on a envie de scruter » ^_^

  27. Laëtitia

    Bonjour Laëtitia,
    Superbe article et ton cover up est magnifique ! J’ai réalisé mon premier tatouage en janvier de cette année. Je me fais tatouer une troisième pièce samedi (j’ai hâte ^^) et je ne regrette pas les deux déjà présents. Le temps d’oser le faire et de m’affirmer aussi au niveau de l’entourage, j’y ai réfléchi pendant 8 ans. Je comprends tout à fait cette notion de tatouage comme thérapie. Je fais également partie des gens pour qui le tatouage doit avoir une signification. Les miens racontent mon histoire et j’y tiens énormément !
    Laëtitia

    • LaëtitiaAutrice

      8 ans ? Eh bien ^_^ Bon courage pour samedi alors !

  28. Apple

    Coucou !

    J’ai beaucoup aimé ton article, et le recouvrement de ton tatouage est très joli, vraiment artistique et personnel.

    Je me suis fait tatouée à 18 ans 2 idéogrammes chinois que j’avais choisi sur le catalogue du tatoueur. Et oui ce n’était pas que la mode du tribal, le chinois avait aussi la cote !

    A 30 ans je le trouve démodée, et je me suis fait surtout tatouée au final pour prouver mon coté adulte. Mais j’ai pour moi le fait que c’est mon Papi qui m’a offert le tatouage et surtout qu’il a payé en chèque alors que tout le monde paie en espèces, et devant l’age avancé de mon papi le tatoueur n’avait pas refusé le chèque. J’en rigole encore !

    D’ailleurs je pense même rajouté un petit R. comme son initiale au tatouage même si cela fera étrange et sinon je pense vraiment au second qui ne sera que la première lettre du prénom de mon fils.

    Désolé pour le roman ! Bisous

    • LaëtitiaAutrice

      Merci pour le cover ! Ah oui, les signes chinois… C’était déjà passé un peu de mode en 2003 mais je sais que très jeune (12/13 ans), je trouvais ça chouette : j’avais eu des décalcomanies dans Jeune & Jolie qui représentaient des signes chinois, je m’y croyais trop quand j’en avais un sur le bras :D Elle est belle ton histoire en tout cas et je comprends que tu veuilles le garder :)

  29. Syhdaal

    Coucou !
    J’aime beaucoup ton article et je trouve que c’est un très chouette témoignage.
    Je me suis moi aussi fait tatouer à l’aube de ma majorité : un bon gros tribal qui tâche. Je l’aime toujours mais il a super mal vieilli. Comme tu dis, à l’époque (2005), le tattoo était beaucoup moins mainstream et on était peut-être un peu moins regardant aussi ah ah !

    Je comprends ta difficulté à trouver le bon artiste : beaucoup ne sont pas capables de faire un bon recouvrement, et c’est d’autant plus difficile sur des tatouages foncés avec des tracés très épais. Ca parait logique, mais des fois (à l’adolescence au hasard…), on n’y pense pas ;)
    Ce cover est très joli, les traits sont nets et ça se voit qu’il vieillira bien. Tu devineras toujours ton ancien tatouage sous les traits du nouveau, mais il faut le voir comme une très belle métamorphose !

    A bientôt !

    • LaëtitiaAutrice

      Ah oui non je te confirme que je n’y pensais pas ! Et maintenant que c’est la mode des tatouages aux traits fins, beaucoup de tatoueurs que j’avais contactés avaient répondu que mon tatouage était trop massif pour qu’ils puissent en faire quelque chose (je désespérais beaucoup de trouver un artiste qui veuille bien s’y atteler…). Merci en tout cas pour ton commentaire :)

    • LaëtitiaAutrice

      Ah oui non je te confirme que je n’y pensais pas ! Et maintenant que c’est la mode des tatouages aux traits fins, beaucoup de tatoueurs que j’avais contactés avaient répondu que mon tatouage était trop massif pour qu’ils puissent en faire quelque chose (je désespérais beaucoup de trouver un artiste qui veuille bien s’y atteler…). Merci en tout cas pour ton commentaire :)

  30. Alice

    Qu’il est bien cet article ! J’ai aimé lire ce témoignage, en apprendre un peu plus sur toi à travers ton histoire et comme d’habitude les photos sont juste canons ♡
    Comme toi (comme beaucoup), mon tatouage était aussi thérapeutique. J’ai toujours été fascinée par les tatouages. Il y’a 5 ans, l’envie d’encrer ma peau était de plus en plus forte, il y’a 2 ans j’ai croqué mon motif et trouvé la tatoueuse qui allait me marquer à vie. Le déclic un jour, l’email envoyé sur un coup de tête et cette marque au creux de moi qui me rappellera pour toujours ce qui importe le plus… :)
    Le plus dur – et même à 28 ans – c’était de le faire accepter à mes parents hahaa :-p
    Hâte d’être fin juin pour le voir en vrai ! Des bisous

    • LaëtitiaAutrice

      Merci Alice <3 Han mais du coup ton tatouage, c'est toi qui l'a dessiné ? Que j'aimerais avoir ce talent !

      • Alice

        Haan nan nan, j’ai croqué mon idée mais ma tatoueuse en a dessiné tous les traits, je n’ai pas ce talent !(#tropdepression )

        • LaëtitiaAutrice

          Aaaah oui ! Je n’ai pas titlé en lisant « croqué » ^_^ (la nulle haha)

  31. Elodie.R

    Bon article! De circonstance, je trouve quand on voit désormais le nombre de personne tatouée et jeune! Effectivement je ne te voyais pas du tout avec un tatouage au vu de ton profil que tu véhicules sur ton blog (nature, hygiène de vie alimentaire, etc…)
    je reste perplexe quand on sait les méfaits d’un tatouage sur la peau ( cancer, rejet de l encre etc…)
    Ton tribal était tout petit par rapport à ce que tu as fait ensuite lol après il a l air très joli (pas une vision en intégralité et dans le bon sens) le motif est sympa. Mm si perso je ne pourrais pas assumer un tel tatouage. Apparament une fois qu’on commence on a du mal à s arrêter…

    • LaëtitiaAutrice

      Les méfaits des tatouages ? C’est hyper contrôlé désormais et les salons ont des conditions d’hygiène strictes (à chacun ensuite de faire attention là où il met les pieds). Comme pour tout, le risque zéro n’existe pas mais à mon sens le tatouage apporte plus de bénéfices que de risques. Tu parles de cancer mais beaucoup de femmes après un cancer du sein se font justement tatouer : sont-elles irresponsables ? Je ne crois pas ^_^ http://www.rosemagazine.fr/magazine/societe/article/tatouage-cicatrice-cancer-maison-rose

  32. Delphine / 7h09

    C’est marrant moi je n’ai qu’un regret : m’être fait tatouer trop tard :)
    Mais bon, je l’ai fait (il y a 2 ans) et j’en suis super contente. D’ailleurs depuis, j’en ai fait un 2ème et il irait bien avec le tien (montagne, sapins, etc.).
    J’ai une fille de 17 ans et c’est sûr que si elle voulait un tattoo, j’en discuterais bcp avec elle et je lui conseillerais d’attendre un peu. Bravo pour cette belle transformation en tous cas !

    • LaëtitiaAutrice

      Oh je serai curieuse de le voir du coup le tien ;)

  33. EmmaEvasion

    Première chose que je fais après notre atelier chez Mon Corner B : lire l’article sur le cover up de to tatouage ! Il est magnifique aujourd’hui et bien qu’on ne se connaisse pas personnellement : beaucoup plus toi que l’ancien !

    Encore merci pour ce très bon moment. A très bientôt j’espère !

    • LaëtitiaAutrice

      Oh merci Emma <3 J'ai passé une super soirée moi aussi :)

  34. Aurel

    Comme toi à 18ans (il y a 14ans maintenant…. man dieu mais ça passe trop vite) je me suis fait tatouer… Ce n’était pas encore aussi démocratisé qu’aujourd’hui, j’étais un peu exceptionnelle avec ma jolie salamandre sur la cheville et mes oiseaux sur le poignet…. (pas de mensonge j’ai choisi en 2 secondes les motifs chez le tatoueur). Au fil des années j’ai commencé à les regretter doucement. Et ils sont devenus 2 tâches à mes yeux, qui commençaient à devenir pesante., au point de mettre des pansements pour les cacher. A la naissance de ma fille, j’ai eu un déclic, pourquoi les garder ? Cela va faire un an que j’ai attaqué les séances de détatouage, c’est douloureux, couteux mais libérateur ! Après 5 séances, il y a déjà une nette différence, la salamandre n’a presque plus de tête ni de patte et les tons ne font que baisser et pour les oiseaux il ne reste plus que le contour. Ton cover est très joli, pour moi la thérapie c’est de les voir disparaître :)

  35. samsha

    Le cover up est vraiment superbe!!
    J’ai fait mon premier tatouage à 16 ans mais il a un symbolisme particulier pour moi et puis il fait parti de moi désormais! Par contre c’est sûr que c’est difficile de s’arrêter (depuis j’en ai fait 3 de plus). Il faut simplement réussir à se poser et à prendre le temps de réfléchir (parfois plus facile à dire qu’à faire haha)

  36. Agathe

    Je croyais avoir laissé un message mais en fait non ! Je me suis tatouée peu avant mes 19 ans, un tatouage simple, pas trop gros, 3 étoiles sur la cheville, je ne le regrette pas, parfois je l’oublie même. Pour fêter mes 30 ans j’ai envie d’en refaire un, mais je n’arrive pas à me décider. Le chéri n’aime pas ça en plus. Et c’est con, mais j’ai aussi peur du regard de mes parents si j’en refais un ^^enfin ça veut peut-être dire que je ne suis pas si prête ?

  37. Manon

    Je suis d’accord avec toi, en moitié. Oui, ce n’est pas génial de se faire tatouer jeune, car parfois on oublie que le tatouage se garde à vie et qu’on est susceptible de changer en grandissant.
    Après il y a des évènements qui font que le tatouage.. on l’aimera toujours. Je parle par là d’un tatouage en lien avec la mort d’un être cher par exemple. Ou en mémoire d’un proche, ou juste pour les membres de la famille…
    Mais je pense que la plus grand partie des personnes tatouées jeunes, regrette aujourd’hui leur tatouage.
    Moi je me suis fait le premier l’an dernier ! et j’ai que 24 ans ^^ pour le moment je l’aime toujours autant mais moi qui me lasse vite de tout, j’ai un peu peur ^^

    Concernant ta cover : je la trouve très réussi et j’adore ce style !!

  38. Aurelia

    « j’avais l’impression de me trimbaler avec une étiquette qui disait cette jeune fille a eu une adolescence faussement rebelle, regardez plutôt sa cheville. » hahaha, qu’est-ce que tu m’as fait rire :) surtout que tu es juste complètement l’opposée maintenant, une des personnes les plus indépendantes que je connaisse.
    J’aime particulièrement le cerf !

  39. Morgane

    Le coverup est superbe ! :D Personnellement, je me dis chaque année que j’en ferai un l’année d’après, que d’ici là je serai sure du motif, que mes gouts se seront enfin fixés,… Et chaque année je reporte, je trouve ça parfois tellement beau chez d’autres personnes, mais j’ai l’impression que ça nécessite une constance au point de vue de la personnalité que je n’aurai jamais. Du coup, pour éviter de me retrouver avec ma version du tribal que je regrette par la suite, je pense me contenter d’admirer ceux des autres encore un petit temps !

  40. Ornella

    Ton nouveau tatouage a l’air plus que sublime ! Je suis comme toi, j’aime les tatouages qui ont du sens. Les autres, je les comprends, mais ce n’est pas pour moi.

  41. Claire

    Bon bah après lecture rapide des commentaires, je vois que je ne suis pas la seule mécontente d’Abraxas.
    C’était mon premier tatouage, j’étais assez nerveuse et je n’ai pas osé m’imposer. Il a changé un peu mon dessin (qu’il avait d’ailleurs égaré…) ce qui fait que mon mandala est devenu une fleur avec des picots bizarres. Les traits sont super épais, tous les tatoueurs que j’ai rencontré par la suite ont tiqué en me disant qu’ils considéraient que les traits n’allaient vraiment pas.
    Je ne l’ai pas recouvert parce que je préfère les motifs assez minimalistes qui ne prennent pas trop de place, donc impossible de faire un cover up.
    A la place j’ai essayé de rajouter des éléments autour pour le rendre plus fin mais je reste déçue quand je vois ce que d’autres personnes ont comme tatouage de mandala…
    Il est pas horrible mais il est sur mon avant bras donc super voyant et des fois il m’insupporte vraiment.

    Je ne veux pas tomber dans la diffamation, mais mon tatoueur s’appelait Luxifer. Très gentil mais voilà, peut être pas le meilleur tatoueur.

  42. Vike

    J’ai jamais passé le cap du tatouage. Trop douillette et aussi je n’en éprouve pas le besoin ni l’envie.
    Cependant je bave devant de superbes tatouages, et celui que tu a maintenant est superbe. Il fait aussi écho en moi. Félicitations à toi d’avoir sauté le pas pour faire recouvrir le tribal, et félicitation au tatoueur pour son superbe travail

  43. Chloé G.

    Bonjour,

    Merci pour le partage ! Je me suis faite tatouée à mes 24 ans (cadeau d’anniversaire de moi à moi-même) et j’avais réfléchis pendant 2 ans avant ça. Du coup je ne regrette absolument pas mon choix et je me sens bien avec mais c’est vrai qu’il est essentielle de prendre le temps de la réflexion.

    PS : le cover up est vraiment beau, très réussi ;)

    Bonne journée à toi,
    Chloé G.
    savoo .fr/blog

  44. Mamzeldree

    Ton cover up est très réussi !
    Je trouve aussi très important de parler du tatouage, de son importance… de bien réfléchir à son « message »…
    En tous cas, le rendu est vraiment joli !

  45. Elodie (lebonheurestdanslanature.fr)

    Coucou, ton « nouveau » tatouage est magnifique ! Regretter est une de mes peurs, pourtant je rêve de me faire tatouer. J’ai une idée bien précise en plus… En tout cas merci pour cet article. Bises. Elodie.

  46. Maëlle

    Salut! Je découvre ton blog via un repost d’une amie sur tes photos de la Réunion. J’aime beaucoup ;) Merci pour la découverte de ton univers. Le sujet abordé ici me parle beaucoup, couple de petits tatoués, mon chéri a fait un mémoire, voilà une dizaine d’année sur la communication du tatoo. Bref ça me parle bien et je suis en pleine réflexion pour mon 3ème ;) Au plaisir!

  47. Expression tatoo

    Salut ! Merci pour ton retour d’expérience très instructif. Je suis tout à fait d’accord avec le fait qu’il n’est pas trop recommandé de se faire tatoué sur un coup de tête. J’ai eu moi aussi un petit tatouage étant jeune et que j’ai regretté quelques années après. C’était un petit cochon avec une couronne sur mon bras. Heureusement, j’ai pu le transformer en un beau tatouage biomécanique.

  48. Manon

    Bonjour
    Je me retrouve dans un cas de figure un peu similaire, un tatouage fait trop vite, trop jeune et sur le coup de tête d’une jeune fille de 19ans qui rêvait de s’affirmer suite à une mauvaise rencontre. Aujourd’hui, 5 ans plus tard, ce tatouage me blesse plus qu’il ne me rend fière, je ressens le besoin de le cacher pour ne pas avoir à l’expliquer (difficile lorsqu’il se trouve juste au dessus du genou). Cela fait plusieurs mois que je pense au cover, mais j’ai peur d’également regretter celui ci et ne plus avoir de recours.. Alors je me dis qu’il faudrait peut être juste l’enlever et assumer la douleur du laser pour effacer les bêtises du passé.
    En tout cas, c’est une jolie seconde vie pour ton tatouage ! Le cover est vraiment génial.

  49. Nathalie

    J’ai un tribal que je me suis fait faire lorsque j’étais sous la mauvaise influence d’une personne. J’ai fait du laser dessus mais il est encore là. Je vais faire un cover dessus car en le voyant, je repense tout le temps à toutes les mauvaises choses avec cette personne. Si je veux closer cet épisode de ma vie, il faut que je vois autre chose. Il est sur l’intérieur du mollet.